Plus difficile en revanche, dans cet aéroport encore plus grand d'OSAKA, immense devrions nous dire ! La bas, on se déplace dans une sorte de métro automatisé entre les différents terminaux, pour transiter entre nos deux avions. 

On trouve assez facilement celui qui sera le notre, par le nom de la compagnie aérienne calédonienne : AIRCALIN. Même avec 1h d'escale entre les deux vols, le temps passe vite, entre chercher un peu le chemin (ou plutôt suivre la foule...) et les différentes opérations de contrôle, on arrive vite sur notre 3eme périple aérien, dernier du nom avant l'arrivée...